21 marzo 2006

Y Edit Piaf

Non, je ne regrette rien

Non! Rien de rien ...
Non! Je ne regrette rien
Ni le bien qu'on m'a fait
Ni le mal tout ça m'est bien égal!

Non! Rien de rien ...
Non! Je ne regrette rien...
C'est payé, balayé, oublié
Je me fous du passé!

Avec mes souvenirs
J'ai allumé le feu
Mes chagrins, mes plaisirs
Je n'ai plus besoin d'eux!

Balayés les amours
Et tous/avec leurs trémolos
Balayés pour toujours
Je repars à zéro ...

Non! Rien de rien ...
Non! Je ne regrette rien ...
Ni le bien, qu'on m'a fait
Ni le mal, tout ça m'est bien égal!

Non! Rien de rien ...
Non! Je ne regrette rien ...
Car ma vie, car mes joies
Aujourd'hui, ça commence avec toi!

10 comentarios:

Gato negro dijo...

No sabes cuanto me gusta esa canción.

GATO NEGRO

Gonzalo dijo...

A mí me gusta más esta. Me trae recuerdos de París (después de 1940)


Il avait de grands yeux très clairs
Où parfois passaient des éclairs
Comme au ciel passent des orages.
Il était plein de tatouages
Que j'ai jamais très bien compris.
Son cou portait : "Pas vu, pas pris."
Sur son cœur on lisait : "Personne"
Sur son bras droit un mot : "Raisonne".

J'sais pas son nom, je n'sais rien d'lui.
Il m'a aimée toute la nuit,
Mon légionnaire !
Et me laissant à mon destin,
Il est parti dans le matin
Plein de lumière !
Il était minc', il était beau,
Il sentait bon le sable chaud,
Mon légionnaire !
Y avait du soleil sur son front
Qui mettait dans ses cheveux blonds
De la lumière !

Bonheur perdu, bonheur enfui,
Toujours je pense à cette nuit
Et l'envie de sa peau me ronge.
Parfois je pleure et puis je songe
Que lorsqu'il était sur mon cœur,
J'aurais dû crier mon bonheur...
Mais je n'ai rien osé lui dire.
J'avais peur de le voir sourire !

On l'a trouvé dans le désert.
Il avait ses beaux yeux ouverts.
Dans le ciel, passaient des nuages.
Il a montré ses tatouages
En souriant et il a dit,
Montrant son cou : "Pas vu, pas pris"
Montrant son cœur : "Ici, personne."
Il ne savait pas...Je lui pardonne.

J'rêvais pourtant que le destin
Me ramèn'rait un beau matin
Mon légionnaire,
Qu'on s'en irait seuls tous les deux
Dans quelque pays merveilleux
Plein de lumière !
Il était minc', il était beau,
On l'a mis sous le sable chaud
Mon légionnaire !
Y avait du soleil sur son front
Qui mettait dans ses cheveux blonds
De la lumière !

Poledra dijo...

Jo, me encanta esta canción.

No podía poner el sonido, pero no me ha hecho falta, tenía a Edit Piaf en mis oidos, sonando desde el interior, mientars leía el post.

Gracias :-)

Elena -sin h- dijo...

Me encanta desempolvar los recuerdos franceses :)

Anónimo dijo...

¿has escuchado a una cantante canadiense que se llama FEIST? escucha su canción MUSHABOOM. te gustará. es de un anuncio de la tele, a ver si adivinas cual. el resto del disco tambien está muy chulo.

alZhu dijo...

Me encanta la pronunciación francesa. Edith Piaf es la más grande. Yo quiero decir lo que digo como lo dice ella.

Un abrazo.

Anónimo dijo...

Qué gusto tenemos, Yul.
Preciosa, aunque yo me quedo con La vie en rose, es una de las canciones que más me gusta. Me hace soñar...
Por cierto Sellers, no se te ve el pelo hace mucho tiempo...Tienes abandonada a Nicole, ja, ja...

sickofitall dijo...

¿Conoceis la pelicula ON CONNAIT LA CHANSON? Deberíais; está ciertamente bien.. Un saludo; interesante blog.

mc clellan dijo...

Mmm. Tomo nota. No la conozco, pero la buscaré. ¡Gracias, boa!

Anónimo dijo...

A mí me gusta 'La Foule'.
---
Je revois la ville en fête et en délire
Suffoquant sous le soleil et sous la joie
Et j'entends dans la musique les cris, les rires
Qui éclatent et rebondissent autour de moi
Et perdue parmi ces gens qui me bousculent
Étourdie, désemparée, je reste là
Quand soudain, je me retourne, il se recule,
Et la foule vient me jeter entre ses bras...

Emportés par la foule qui nous traîne
Nous entraîne
Écrasés l'un contre l'autre
Nous ne formons qu'un seul corps
Et le flot sans effort
Nous pousse, enchaînés l'un et l'autre
Et nous laisse tous deux
Épanouis, enivrés et heureux.

Entraînés par la foule qui s'élance
Et qui danse
Une folle farandole
Nos deux mains restent soudées
Et parfois soulevés
Nos deux corps enlacés s'envolent
Et retombent tous deux
Épanouis, enivrés et heureux...

Et la joie éclaboussée par son sourire
Me transperce et rejaillit au fond de moi
Mais soudain je pousse un cri parmi les rires
Quand la foule vient l'arracher d'entre mes bras...

Emportés par la foule qui nous traîne
Nous entraîne
Nous éloigne l'un de l'autre
Je lutte et je me débats
Mais le son de sa voix
S'étouffe dans les rires des autres
Et je crie de douleur, de fureur et de rage
Et je pleure...

Entraînée par la foule qui s'élance
Et qui danse
Une folle farandole
Je suis emportée au loin
Et je crispe mes poings, maudissant la foule qui me vole
L'homme qu'elle m'avait donné
Et que je n'ai jamais retrouvé...

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